Quand as-tu commencé à travailler chez OneSide, dans quel contexte ?
Mon histoire d’amour avec OneSide a commencé fin octobre 2014 lorsque j’ai répondu à une offre en ligne. J’ai été contacté par Maryline, chargée de recrutement à l’époque. OneSide était en concurrence avec une autre entreprise et, finalement, j’ai signé avec OneSide. Pourquoi ? Car le process a été plus rapide et l’opportunité était plus alléchante.
Avant de devenir ingénieur d’affaires, j’ai été consultant pour OneSide jusqu’en 2016. C’est donc naturellement que je me suis tournée vers OneSide pour devenir ingénieur d’affaires ! C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai retrouvé l’entreprise !
Comment en es-tu venu à vouloir devenir ingénieur d’affaires ?
J’ai toujours nourri un côté relationnel et en même temps une envie de travailler en autonomie, en quelque sorte. J’aime énormément la technique et, dans un premier temps, j’ai préféré me concentrer sur l’aspect technique pour continuer à monter en compétences. Au fur et à mesure que le temps a passé, le métier d’ingénieur d’affaires est devenu une évidence pour moi, mais également pour mes proches. La mise en situation à travers une formation de ce métier ainsi que la vision d’un ami évoluant dans ce domaine n’ont que confirmé cette volonté d’évolution de carrière. De surcroît, pour moi OneSide était l’environnement idéal car, au-delà de rassembler un aspect convivial et familial, intégrer OneSide m’a permis d’accéder à une formation personnalisée du métier d’ingénieur d’affaires.
Comment s’est déroulée l’évolution ?
Le changement s’est fait en douceur. L’aspect clé a été de faire preuve d’anticipation. Après plusieurs conversations sur le sujet avec Jean-Christophe, on a fait le choix d’en parler à Guillaume afin de formaliser la situation et de me proposer un cadre adapté à mon profil. Dès ce moment, j’ai travaillé dur pour mettre toutes les chances de mon côté dans ce nouveau métier.
Selon toi, quel(s) avantage(s) ton parcours apporte-t-il à ton métier d’ingénieur d’affaire ?
J’en citerai trois :
- L’aspect recrutement : issu du milieu technique, je suis à-même de pouvoir qualifier en profondeur une compétence technique. Cela se traduit par une session d’exercices ou une discussion technique poussée.
- La crédibilité face aux opérationnels : je remarque qu’un opérationnel est davantage conquis lorsque l’on parle le même langage que lui. Étant moi-même passé par ce côté opérationnel, le contact est facilité !
- La relation avec les consultants : ayant eu la casquette de consultant, je comprends les problématiques et les attentes des consultants avec qui je travaille aujourd’hui, ce qui me permet de me remettre en question et d’améliorer mon accompagnement. Et à ce sujet, en plus d’avoir un suivi humain pour le consultant, moon expérience me permet d’adopter un suivi technique également, une aide non négligeable.